Robert Marien s'est fait connaître au Québec pour son rôle dans Lance et compte. Mais cet acteur exporte depuis plusieurs années son talent aux quatre coins du monde pour s'y produire dans des comédies musicales célèbres comme Notre-Dame-de-Paris, Victor Hugo in Musical, Les Misérables, Le fantôme de l'opéra. Il passe probablement plus de temps en Asie que sur notre continent ! Mais c'est aussi un grand amateur de voitures qui rêve, un jour, à sa McLaren !

LA VOITURE QUI A MARQUÉ SON ENFANCE

La Chevrolet Biscayne 1958 bleue que mon père avait achetée « de seconde main » à Camille, le frère de ma grand-mère Adrienne. On était quatre enfants qui s'obstinaient pour avoir une fenêtre... et c'est dans cette auto, alors que j'avais 10 ans, que j'ai ramené une de mes soeurs jumelles (bébé naissant qui avait dû rester à l'hôpital en incubateur) dans mes bras, assis en avant... pas de ceinture ! Ça marque ! À six enfants, là, ça s'obstinait encore plus pour avoir une fenêtre !

SA PREMIÈRE VOITURE

Une Chevette grise 1979... qui appartenait à celle que j'allais épouser un an plus tard et avec laquelle j'ai appris à conduire... à 24 ans ! La première voiture bien à moi : une Toyota Tercel SR5 4x4 blanche... comme la papemobile. Pas tuable et jamais prise dans la neige !

SA PIRE VOITURE

Ça, c'est celle qui se retrouve souvent au garage. C'est ma Ford Merkur XR4Ti 1985, construction allemande, une des premières au Québec (démo du beau-frère, ingénieur chez Ford). Super turbo... qui lâchait souvent ! Heureusement que tout était sous garantie... vidange d'huile incluse ! Mais quand ça marchait, merde que ça clenchait !

SA VOITURE DE RÊVE

Oh, il y en a plus qu'une ! Jeune, je tripais sur les voitures de James Bond. Disons que j'arrêterais mon choix sur une McLaren 570GT. Je pourrais aussi répondre de façon politiquement correcte et dire que je me satisferais d'une Tesla.

photo tirée de wikipédia

Une Chevrolet Biscayne 1958

photo tirée de wikipédia

Une Toyota Tercel SR5