Vincent Damphousse: une carrière marquée par les voitures

Vincent Damphousse est un passionné de voitures. Il a profité de son statut de vedette de hockey pour multiplier les ententes de commandites avec les concessionnaires et ne compte plus le nombre de volants qu'il a pu tenir entre ses mains.

La voiture qui a marqué mon enfance

«Mes parents avaient des Volkswagen Beetle, un modèle qui est revenu à la mode ces dernières années. On en a eu une de couleur jaune, puis une verte. Mon frère et moi, on se couchait un par-dessus l'autre en arrière pour dormir quand on partait en vacances dans le Maine. On avait des petites chicanes pour savoir qui allait coucher à terre "dans le trou" et qui était sur le banc! Quand j'ai commencé à jouer au hockey, un peu plus tard, on a opté pour un plus gros modèle, la Parisienne et la Fort LTD.»

Ma première voiture

«Quand j'ai commencé à jouer au hockey junior avec le Titan de Laval, mon frère et moi on s'est acheté une Honda Civic hatchback rouge, qu'on partageait. On avait un gros système de son en arrière. J'investissais dans la radio et le son!»

Ma pire voiture

«Difficile d'en trouver une pire. Je conduisais une Suzuki Samourai quand je jouais à Edmonton, je ne voudrais pas dire la pire, parce qu'elle faisait la job, et elle était prêtée par le concessionnaire. Les ententes avec les concessionnaires, j'ai commencé ça en allant moi-même visiter un concessionnaire en début de carrière, avec les Maple Leafs de Toronto. Je donnais des billets en retour. Il me prêtait une auto pour 5000 km avant de la mettre en vente. J'avais toujours une auto neuve et j'en ai essayé plein.»

Ma voiture favorite

«À Montréal, je me suis gâté et j'ai acheté la Porsche 911 convertible blanche de [mon coéquipier] Denis Savard, avec toit noir. J'ai tellement aimé que j'en ai acheté trois de suite. Toujours des 911 convertibles. L'intérieur est rudimentaire, mais c'est fait solide. La Porsche, c'est le moteur, le son, la tenue de route, tout.»