Elle ressemble toujours à la figure géométrique d'un parallélépipède, mais l'i3 a beaucoup évolué - comme tous les véhicules électriques, d'ailleurs - depuis ses débuts en 2014.

Sans altérer sa forme ni ses caractéristiques de base, l'i3 jumelle son moteur électrique de 125 kWh (l'équivalent de 168 ch) à des batteries qui gagnent en densité.

Celles-ci permettent à l'i3 d'afficher un rayon d'action de quelque 200 km, lequel pourra être porté, moyennant supplément, à 330 km en installant une génératrice à essence (le moteur est un petit bicylindre de 650 cc). Le groupe électrogène, que BMW appelle «le prolongateur Rex», est une option favorisée par 80 % des acheteurs d'i3.

Hyper-agile, faite pour la ville

Amusante à conduire en milieu urbain et incroyablement agile (rayon de braquage inférieur à 10 m), l'i3 tire admirablement bien son épingle du jeu en période hivernale, même s'il s'agit d'une propulsion (roues arrière motrices).

La version s (pour Sport) offre un meilleur ressenti au volant et une stabilité accrue sur les voies rapides et dans les virages, mais étonnamment, elle signe des performances en retrait (accélération et reprises) par rapport à celles du modèle de base tout en frappant plus durement les irrégularités de la chaussée.

L'i3 en bref

Autonomie électrique (estimation) : 200 km ou 330 km avec la génératrice

Subvention du gouvernement du Québec : 8000 $

Fourchette de prix : de 48 750 $ à 56 950 $