Bien sûr, Fiat n'a pas inventé le «marketing de la nostalgie». Depuis une douzaine d'années déjà, des constructeurs ont exploité ce filon. La mise en marché d'une «édition 1957» de la joyeuse Fiat 500 confirme que l'évocation du passé est une affaire qui marche: un retour en arrière revisité, qui n'oublie ni le confort ni la technologie.

Produite en quantité limitée, cette édition spéciale se reconnaîtra visuellement au blanc qui tapisse son toit et le contour de ses jantes - pour recréer l'effet des pneus à flanc blanc -, et à sa palette de couleurs très fifties, comme disent nos cousins français.

À l'intérieur, le mobilier est «repeint» en marron et ivoire, dans le but de cultiver cette nostalgie avec le plus d'élégance possible. Sur le plan technique, la 500 «édition 1957» ne diffère en rien de ses semblables.

Le moteur quatre cylindres 1,4 litre prend place sous le capot, et à l'acheteur de déterminer s'il désire que sa puissance soit transmise aux roues avant au moyen d'une boîte manuelle ou automatique.





Ferrari, l'enchantée

Qu'elle ait ou non une nouveauté à présenter, la célèbre marque italienne demeure très prisée. Soin stand est l'un des plus courus (et des plus occupés) du salon. Aux côtés des purs-sangs que sont les 458, on retrouve l'inusitée FF, son profil de shooting brake et ses quatre roues motrices, et la charismatique California avec sa cinématique de toit particulière, la rageuse F12. À cela il convient d'ajouter l'affolante LaFerrari, mais seulement 499 unités seront produites à compter de cette année.

La Ferrari F12 Berlinetta