Cent six décès, aux États-Unis, pourraient être expliqués par la pollution causée par les voitures diesels Volkswagen et Audi depuis la fin de 2008, quand ont été vendues les premières voitures trafiquées pour tricher lors des tests environnementaux.

C'est le nombre calculé par le New York Times à partir d'un modèle statistique de l'Université de Chicago. Le chiffre est «sensé», mais très approximatif, a prévenu le professeur Michael Greenstone, cité par le Times.

Mais ce calcul illustre que le dispositif illégal (permettant d'émettre beaucoup d'oxyde d'azote dans l'atmosphère) a eu un impact sur la santé humaine. C'est comparable aux 124 décès liés aux  commutateurs de démarrage défectueux de General Motors.