La calandre à double arche évoquant un pont traditionnel japonais et son reflet dans l'eau est sans doute le seul élément commun entre le nouveau QX50 et son prédécesseur.

Tout le reste est nouveau, à commencer par ce qui ronronne derrière cette calandre, justement. Soucieuse de se démarquer de concurrents qui se photocopient entre eux, Infiniti joue d'audace et inaugure un moteur doté d'un taux de compression variable.

Une idée longtemps jugée fantaisiste, mais à laquelle les motoristes d'Infiniti ont consacré 10 ans de recherches, en amassant 300 brevets au passage. Baptisée VC-Turbo, ce quatre-cylindres de 2 L turbocompressé est doté d'un actuateur (chez Infiniti, on dit Multi-link) fixé entre la bielle du piston et le vilebrequin.

Juste un mot (pas plus) sur le taux de compression

Cet actuateur fait varier le taux de compression (entre 8 : 1 et 14 : 1 pour ceux que cela intéresse) pour améliorer --vous l'aurez deviné-- la consommation. À ce sujet, les motoristes soutiennent que ce moteur consomme 27 % moins d'essence que le V6 qui animait autrefois le QX50. Pour faciliter pareille performance énergétique, le QX50 retient également les services d'une boîte automatique à variation continue (CVT).

Spacieux et richement équipé, l'habitacle du QX50 habille, sur certaines déclinaisons, une partie de sa console et de ses contre-portes d'une chaleureuse suédine.

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