Le raz-de-marée VUS n'a pas tout englouti. Pour preuve, ces berlines qui procurent une autre façon de voyager.Commençons par la Buick Regal.

Comme la génération qui l'a précédée, cette sixième mouture de la Regal dérive très étroitement de l'Insignia produite par la firme allemande Opel. À la différence que cette fois, elle sera produite de nouveau en Allemagne (comme les premières unités vendues en 2011 à ses débuts nord-américains) et non au Canada.

En outre, la Regal qui nous est destinée ce printemps s'habille désormais d'une carrosserie comptant cinq portes, une première dans l'histoire de ce modèle dont les origines remontent à 1973. Notons qu'il existe aussi une version familiale appelée la TourX, mais celle-ci ne fera pas carrière au Canada, seulement aux États-Unis.

Il y a une livrée GS avec un V6

La Regal Sportback (c'est sa nouvelle appellation) repose sur une architecture similaire à celle de la Malibu de Chevrolet. Plus ample, donc plus spacieuse, la Regal Sportback a l'immense mérite d'être plus légère que sa devancière. Sous son capot on retrouve un moteur quatre cylindres de 2 L turbocompressé dont la force de couple et le régime de rotation varient selon le mode d'entraînement. Ainsi, sur la version tractée (roues avant motrices), ce 2 L délivre 260 lb-pi de couple à 2000 tr/min contre 295 lb-pi à 3000 tr/min pour le modèle doté d'un rouage intégral (quatre roues motrices).

Pour satisfaire les amateurs de conduite, Buick assure la descendance de la livrée GS. Cette dernière accueille un moteur V6 3,6 L (310 ch).

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