Le fabricant d'ordinateurs Acer avait déjà payé Ferrari pour le droit de peinturlurer ses ordis de la couleur rouge macho que le monde entier reconnaît, et même d'y coller un décalque de l'emblématique étalon cambré.

Voilà qu'Acer va un peu plus loin et baptise «Acer Ferrari» un de ses portables de type notebook.

 

Ici, à L'Auto, il y a plus d'opinions sur les chevaux-vapeur que sur les gigs, alors on s'en remet au magazine Wired, qui a testé l'Acer Ferrari et qui semble dire, d'après ce qu'on a compris, que c'est une bonne petite machine.

 

Mais l'argument le plus convaincant de Wired est le suivant: «En tout cas, c'est certainement la façon la moins chère d'investir dans une Ferrari.»