Avant-première canadienne de la seconde génération de la Countryman à Montréal. La plus enveloppée de toutes les Mini adopte à son tour la nouvelle architecture de la marque et sera vraisemblablement - à terme - la première Mini à bénéficier d'une motorisation hybride à prise rechargeable sur nos terres.

D'ici là, ce modèle fait appel pour ses débuts à une mécanique à essence suralimentée dont la cylindrée varie (1,5 litre ou 2 litres) selon la livrée retenue.

Par rapport au modèle qu'elle remplace, la Countryman est plus longue et plus large. Son empattement a également été accru et son constructeur affirme que cinq personnes pourront dorénavant cohabiter confortablement à bord.

Accès arrière plus facile

Les ouvertures des portes arrière plus grandes que celles du modèle précédent permettent un accès plus facile.

À noter que les assises arrière glissent, comme à l'avant, sur des rails pour augmenter le dégagement aux jambes. La banquette arrière rabattable peut être divisée dans un rapport 40-20-40. De plus, l'inclinaison peut être variée, soit pour augmenter le confort d'assise, soit pour créer une plus grande capacité de rangement à l'arrière. Le volume du compartiment à bagages est de 450 litres et peut évoluer jusqu'à 1390 litres en cas de besoin, ce qui correspond à une augmentation de 220 litres au maximum par rapport au modèle précédent.

Le dispositif à quatre roues motrices (ALL4) offert sur certaines déclinaisons fait l'objet lui aussi de certaines transformations. La présence de capteurs plus sophistiqués assure des réactions plus rapides. Il est composé d'une fonction appelée « Power-Take-Off », intégrée dans le différentiel avant, d'un arbre de transmission du couple menant à l'essieu arrière et d'un embrayage spécifique assurant un dosage exact de la transmission du couple aux roues arrière. La commande électronique du système est connectée au contrôle dynamique de la stabilité (DSC) et détecte ainsi à temps la nécessité d'adapter la répartition du couple.