Les pilotes de Tata Motors ont parcouru 16 853 km en 53 jours à bord de trois nouveaux Range Rover hybrides diesel-électricité pour prouver l'endurance et la fiabilité de ces 4 x 4 en motorisation verte.

Land Rover a appelé le voyage «Silk Road 2013». C'est une version étirée, un peu dénaturée, mais politiquement réaliste de la route de la soie: de l'usine Land Rover à Solihull, en Angleterre, à Bombay, siège social de Tata Motors, en traversant l'Europe jusqu'en Russie et en passant au nord de la mer Caspienne pour éviter la Syrie, l'Irak et l'Iran, trois pays indissociables de l'antique route de la soie mais en guerre, instables ou hostiles.

Les Range Rover ont ensuite traversé le Kazakhstan, l'Ouzbékistan, le Kirghizistan, la Chine, le Népal pour atteindre l'Inde, en consommant «généralement» entre 7,6 et 7,8 L/100 km, dit Land Rover, sans donner de moyenne précise. Quinze crevaisons, quatre jantes tordues, mais zéro avarie mécanique, ajoute le constructeur.